Les noms de voies en A
Les noms de voies en A
Aimé-et-Eugénie-Cotton
La rue Aimé-et-Eugénie-Cotton
Elle a été ouverte en 1970, et inaugurée en septembre de cette même année.
Elle relie l’avenue Charles-Garcia à la rue Mendès-France et conduit à l’école Paul-Langevin.
Au n°1 de la rue se trouve la ludothèque des Jardins inaugurée le 9 mai 1980.
Aimé Auguste Cotton (1869-1950)
Physicien français. Il a initié des travaux sur l’ultramicroscopie et les champs magnétiques intenses.
Eugénie Elise Céline Feytis (1881-1967)
Epouse d'Aimé Cotton, docteur es-sciences physiques.
Elle a été directrice de l’Ecole Normale Supérieure de jeunes filles de Sèvres.
Albert-1er
La rue Albert-1er
Tout comme la rue Marguerite et la rue Raspail, créées en 1925 dans le cadre de l'aménagement du lotissement "Charles Josserand" du nom du propriétaire du terrain, Lazare Charles dans la rue Charles-Bassée.
Le lotissement, est aussi appelé "lotissement des Carrières".
Ces rues sont privées. Une pétition des habitants dès 1926 demande leur reconnaissance en voies publiques afin de bénéficier des services d'éclairage et de ramassage des ordures.
Un courrier au Maire relance la demande en janvier 1927. Dès la fin de l'année, la municipalité fait installer un candélabre au coin de ces rues.
La rue Albert prend le nom de rue Albert-1er en 1937.
Elles figurent sur le parcellaire cadastral de 1947 en section AV.
Albert 1er (1875-1934)
Roi des Belges.
Issu d'une lignée aux racines germaniques et mari d'une princesse allemande, le roi choisit en 1914 de défendre son pays, pourtant créé neutre, et de combattre contre l'invasion allemande, affirmant le caractère belge de sa dynastie.
Il devient alors l'objet d'un véritable mythe dépassant largement le cadre des frontières belges, recueillant les surnoms guerriers de Roi Soldat ou de Roi Chevalier.
Après l'armistice de 1918, le roi intervient fréquemment dans les questions politiques belges: il prône l'égalité effective des deux langues nationales, la reconnaissance de la liberté syndicale, l'extension de la législation sociale et l'essor des sciences.
Sur le plan des relations internationales, il accomplit de longs voyages officiels et privés à l'étranger : les États-Unis en 1919, le Brésil l'année suivante, les Indes en 1925, sans oublier le Congo en 1928 et en 1932 et enfin la Syrie et la Palestine en 1933.
Passionné d'alpinisme comptant à son actif plusieurs ascensions importantes, il trouve la mort, en 1934, lors d'une escalade dans la vallée de la Meuse en Belgique.
Albert-Camus
L'allée Albert-Camus
Elle est ouverte par délibération le 28 juin 1967 et dessert la résidence Romain-Rolland.
Elle est située sur l'emplacement de l'ancienne Redoute construite en 1833 qui a été bâtie sur le territoire communal dans le cadre du plan de fortification pour la défense de Paris.
Albert Camus (1931-1960)
Ecrivain, philosophe, romancier, dramaturge, essayiste et nouvelliste français.
Il fut aussi journaliste militant engagé dans la Résistance française et, proche des courants libertaires, dans les combats moraux de l'après-guerre.
Il développe un humanisme fondé sur la prise de conscience de l'absurde de la condition humaine mais aussi sur la révolte comme réponse à l'absurde, révolte qui conduit à l'action et donne un sens au monde et à l'existence.
En marge des courants philosophiques, Camus est d'abord témoin de son temps, intransigeant, refusant toute compromission.
Il n'a cessé de lutter contre toutes les idéologies et les abstractions qui détournent de l'humain. Il est ainsi amené à s'opposer à l'existentialisme et au marxisme quitte à se brouiller avec d'anciens amis.
En ce sens, il incarne une des plus hautes consciences morales du XXe siècle ; l'humanisme de ses écrits ayant été forgé dans l'expérience des pires moments de l'Histoire.
Sa critique du totalitarisme soviétique lui vaut les anathèmes des communistes et coupe les ponts avec Jean-Paul Sartre
Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1957.
Il meurt à 47 ans dans un accident de voiture.
Alfred-de-Musset
La rue Alfred-de-Musset
Ainsi baptisée en 1931, par délibération du 28 décembre, la rue Alfred-de-Musset existait depuis fort longtemps.
A l'origine, ancien chemin des Rieux, cette voie prend le nom de rue du Petit-Paris, du nom du lieu-dit qu'elle borde.
La rue Alfred-de-Musset traverse les sections AC, AD, AS et M du plan cadastral de 1947 depuis l'avenue du Maréchal-Foch jusqu'à la rue La Fontaine.
Alfred de Musset (1810-1857)
Poète et dramaturge français de la période romantique.
Il rencontre Georges Sand en 1833 avec laquelle il se lie amoureusement et part en Italie. Leur relation mouvementée, se termine en mai 1835.
Pendant cette relation avec Georges Sand, il écrit son chef-d'œuvre, un drame romantique, "Lorenzaccio" en 1834, ainsi que sa pièce la plus connue: "On ne badine pas avec l'amour".
Dépressif et alcoolique, à 30 ans, Alfred de Musset écrit de moins en moins, mais reçoit la Légion d'honneur en 1845 et est élu à l'Académie française en 1852.
Mort à 46 ans, à peu près oublié, il est redécouvert au XXe siècle et considéré comme un des grands écrivains romantiques français.
Alger
La rue d'Alger
Ce nom a été donné à deux voies :
- d'abord au sentier du Hauts-des-angles en 1897, entre la rue Désiré-Rochebois et la rue du Fort,
- puis, lors de l'aménagement de la zone du Fort en 1931, à la voie n°15, entre la rue du Fort et la rue Jules-Dalou (aujourd'hui rue de la Résistance).
- Simple chemin de culture, la rue a été viabilisée entre 1932 et 1933.
Elle est présente sur les sections BF, BL, BM du plan cadastral de 1947. Aujourd'hui, elle va de la rue Désiré-Richebois à la rue de la Résistance.
Alouettes
La rue des Alouettes
C'est par délibération du 30 novembre 2001 que cette nouvelle voie prend le nom de rue des Alouettes.
Elle serpente entre les constructions, reliant la rue Louis-Auroux à la rue de la Prairie.
Amitié entre les peuples
La Place de l'Amitié entre les peuples
Carrefour entre l'avenue Foch et l'avenue Charles-Garcia elle est inuagurée le 25 avril 1982 par le Maire Louis Bayeurte.
Les associations militantes pour la paix et la fraternité avait animé la veille le premier "Gala de l'amitié entre les peuples".
Une stèle y a été installée, ainsi que la sculpture de Jean Zorko
Ampère
La rue Ampère
Ancien sentier des Larris, cette voie est baptisée rue Ampère par délibération du 28 décembre 1931.
En 1939, la pose d'une conduite d'eau est envisagée. Cela donnera lieu à un nouveau pavage.
En 1954, les 15 habitants de la rue ne sont pas prêts à participer à la dépense, jugée inutile, pour l'installation d'une canalisation d'assainissement.
En 1958, la ville relance le projet à la demande cette fois de plusieurs riverains. Cela nécessite l'achat de terrains pour procéder à un alignement.
André-Marie Ampère (1775-1835)
Physicien et mathématicien. Autodidacte, Ampère contribue au développement des mathématiques en les introduisant en physique. Il fait d'importantes découvertes dans le domaine de l'électromagnétisme. Il en édifie les fondements théoriques et découvre les bases de l'électronique de la matière. Il est également l'inventeur de nombreux dispositifs et appareils tels que le télégraphe.
Il a été membre de l'Académie des sciences, ainsi que professeur à l'École polytechnique et au Collège de France.
Anatole-France
La rue Anatole-France
Ancien Chemin du Rû-coin, qui une fois viabilisé, prend le nom de rue Anatole-France vers 1926.
La rue va de la place Michelet à l'avenue Victor-Hugo.
Elle figure aux sections AD et 0 du plan cadastral de 1947.
Anatole France (1844-1924) de son vrai nom François-Anatole Thibault.
Nouvelliste, critique et romancier français.
La tétralogie de l'"Histoire contemporaine", qui regroupe les quatre romans dont M. Bergeret est le héros, et qui présente un juste panorama de la France sous la IIIème république (et tout particulièrement pendant l'Affaire Dreyfus), tient plutôt de l'humour noir et tranquille.
Il est élu à l'Académie française en 1896.
Dans "Les dieux ont soif", en 1908, Anatole France, républicain solidement anti-clérical, fait le procès des excès de la Terreur, qu'il impute d'ailleurs non pas tant à la Révolution elle-même qu'à la désespérante nature humaine.
Il reçut le prix Nobel de littérature pour l’ensemble de son œuvre en 1921.
En contradiction avec ses dispositions testamentaires, des obsèques nationales ont lieu à Paris le 18 octobre 1924,
Ancienne Mairie
La rue de l'Ancienne Mairie
Suite à l'ouverture du nouvel Hôtel-de-ville, inauguré le 16 septembre 1973, la rue de la Mairie prend la dénomination de la rue de l'Ancienne Mairie.
André-Bassée
La rue André-Bassée
La voie ouverte en 1845 a eu plusieurs appellations : successivement avenue de la Mairie, boulevard de la Mairie, avenue des écoles et boulevard des écoles.
C'est en 1930, par délibération du 12 janvier, que la ville lui donne le nom de rue André-Bassée.
Le passage, encore visible sur la feuille cadastrale BE du plan de 1947, entre la rue Notre-Dame et la rue François-Poli est coupé par l'agrandissement de la cour de l'école Mot.
Le bureau de poste fut longtemps situé dans le bâtiment qui est devenu l'Ecole maternelle Mot".
André Bassée (1890-1922)
Ingénieur des Arts et Manufactures.
Il a fait du bureau de bienfaisance de la commune de Fontenay-sous-Bois son légataire universel par testament en date du 20 septembre 1922.
André-Chenier
La rue André-Chénier
C'est l'ancien sentier de la Plâtrière, qui est dénommé rue André-Chénier par délibération du 28 décembre 1931.
La rue, encore visible sur la feuille AE du plan cadastral de 1947, partait de la rue Chateaubriand pour la desserte des parcelles agricoles en séparant les lieux dits du Pressoir et de la Platrière.
La rue a disparu lors de l'aménagement de la Zone à Urbaniser en Priorité (ZUP).
André Chenier (1762-1794) de son vrai nom André Marie de Chénier.
Poète français.
Né d’une mère grecque et d’un père français (le diplomate de Louis XVI Louis de Chénier), il traduit dès l’adolescence des poètes grecs et s’enthousiasme pour la poésie classique. Il fut nommé secrétaire à l'ambassade de France à Londres pendant trois années qui furent entrecoupées de séjours à Paris (1787-1790).
À son retour, il participa avec enthousiasme d'abord, puis avec plus de distance, au mouvement révolutionnaire. Au moment des massacres de septembre 1789, arrivé au Havre, il refusa d'émigrer et revint à Paris pour participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud.
Il fut arrêté à Passy le 7 mars 1794. Impliqué dans une des fausses conspirations qui permettaient d’exécuter les suspects sans les entendre, il fut condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire.
André-Laurent
La rue André-Laurent
C'est par délibération du 25 avril 1952 que la rue des Carreaux prend le nom de rue André-Laurent.
André Laurent (1901-1952)
Décorateur de métier.
Engagé communiste, il fut premier adjoint au Maire de 1944-1945, Maire de 1945 à 1947.
Conseiller municipal jusqu'en 1952 et Conseiller Général de la Seine de 1945 à sa mort.
André-Tessier
La rue André-Tessier
Le nom de rue André-Tessier a été donné à une partie de la rue des Moulins en 1945.
Elle va de la rue Saint-Germain à l'avenue de la République.
André Tessier (1907-1944)
Instituteur, a enseigné à l'école Michelet.
Arrêté comme otage à Vigeant dans la Vienne, il est fusillé le 4 août 1944.
Angles
L'origine de l'appellation des Angles reste inconnue ; elle a été donnée à de multiples voies.
- aux sentiers qui traversaient le lieu dit des Angles et permettaient l'accès aux jardins : Le sentier des Angles et Le sentier des Angles n°2.
Si le devenir du premier est difficile à identifier, le second est devenu la rue de la Fraternité par délibération du 17 décembre 1897.
- au chemin des Angles, chemin vicinal n°5 dit "de Fontenay-sous-Bois à Nogent" entre l'actuelle rue du Clos d'Orléans et la limite de Nogent-sur-Marne. Simple chemin de terre, il était appelé à servir de principale voie de communication entre les deux localités. Il est viabilisé en 1874.
- à La rue des Angles, ancienne ruelle du Pucelot ; les rues du Fort (aujourd'hui rue Louis-Xavier-de-Ricard) et des écoles font l'objet d'un alignement en 1879. L'année suivante, en 1880, l'acquisition de terrains permet d'effectuer la jonction entre la rue des Angles et le chemin des Angles : la totalité du tracé entre la rue du Fort et la limite de Nogent est alors mise en viabilité. Dans un arrêté d'alignement de 1888, la mention de rue de Joinville apparaît.
- à La rue des Angles, ancien sentier "le quatrième aboutissant rue de Nogent", comme en atteste la délibération du 17 décembre 1897, pour nommer le quatrième chemin aboutissant rue de Nogent
- Le terme reste présent dans la rue du Fond-des-angles.
Arago
La rue Arago
L'ancien sentier du Noyer-Barbier, cette rue été nommée par délibération du 28 décembre 1931.
Elle joignait la rue Michelet et la rue Rabelais.
La rue a aujourd’hui disparu.
François Arago (1786-1853)
Astronome, physicien et homme politique français.
Polytechnicien, membre de l'Académie des Sciences dès l'âge de 23 ans, Arago enseigne pendant vingt ans la géométrie analytique à l'École polytechnique. Puis il dirige l'Observatoire de Paris.
Ses travaux ont porté sur la nature et la vitesse de la lumière, le magnétisme, la polarisation. Il parvient à déterminer le diamètre des planètes et participe à des travaux sur la vitesse du son. Dans le domaine des techniques, il s'intéresse aux forages de puits artésiens à Paris et à l'invention de la photographie lors de la présentation du Daguerréotype, en 1839.
Pendant la monarchie de Juillet (1830-1848), Arago est une figure du parti républicain. Après la révolution de 1848, il est ministre de la Guerre, de la Marine et des Colonies dans le gouvernement provisoire de la Seconde République, mis en place par Lamartine.
En tant que président de la Commission exécutive, il joue le rôle de chef de l'État durant un mois et demi et, à ce titre, contribue à l'abolition de l'esclavage dans les colonies françaises.
Par la suite, il refuse de prêter serment de fidélité à Louis-Napoléon Bonaparte et préfère démissionner de son poste au Bureau des Longitudes. Cependant, le Prince-Président refuse sa démission et le dispense du serment d’allégeance.
Armes
La place d'Armes
Cette place de village a eu de nombreuses appellations.
La plus ancienne, place de la Feste est remplacée par celle de Carrefour.
Elle prend ensuite le nom de place d’Armes à la Révolution.
C'est sur cette place que s'élevait la grange dîmeresse, où était entreposées les récoltes provenant de la dîme. Cette bâtisse est convertie en cabaret et en salle de danse en 1769. Elle est louée en 1787 à un cabaretier Jean-Louis Gambard, qui l'achète en 1791, juste quelques jours avant que le décret du 24 septembre 1791 n'en autorise la vente à la municipalité. Celle-ci projetait d'y installer un corps de garde et une salle de réunion pour la municipalité. Ce projet sera finalement réalisé place de l'église.
La place d'Armes est pavée suite à la délibération du Conseil municipal du 10 mai 1838 qui relève :"ainsi sillonnée en tous sens par les ruisseaux conduisant les eaux pluviales et ménagères qui croupissent en été et causent des émanations insalubres en hiver, par temps de pluie et de dégel, les maisons de commerce qui entourent la place sont inabordables et (que) le moindre des inconvénients est d'entrer dans la boue jusqu'à la cheville au lieu même des cérémonies..."
En 1827 et 1845, la fontaine, qui est présente sur la place dans l'axe de la rue de Nogent (actuelle rue de l'ancienne Mairie), est réparée. En 1862, son état est tel qu'il n'est plus raisonable d'effectuer les réparations selon Monsieur Naissant, l'architecte chargé du devis. Son emplacement est jugé gênant pour la circulation, aussi, le Conseil municipal décide de la remplacer par une borne fontaine.
La place d'Armes prendra le nom de place du Général-Leclerc en 1948.
Audience
La rue de l'Audience
L'ancienne ruelle du Guignet devient rue de l’Audience, du nom de la salle d’audience où la justice de L’Abbaye de Saint-Victor, principal seigneur du village, s’exerçait.
Son classement en chemin vicinal lui octroie le numéro 5.
En 1860, plusieurs propriétaires se plaignent du mauvais état de la rue et demandent sa mise en état de viabilité ; elle sera empierrée en 1862.
En 1968, la commune achète un terrain de 70,40m² au numéro 2.
Le n° 1 de la rue est déclaré immeuble en état de péril en 1954.
Une activité économique s'y est développée : le travail du bois avec l'entreprise L. Marlier aux numéros 8 et 10 et la couverture-plomberie avec l'entreprise L. Lorain au numéro 3.
Au n° 13, la pension Saint-Antoine était occupée par une institution dans les années 1910.
Auguste-Comte
La rue Auguste-Comte
C'est par délibération du 26 janvier 1912 que le sentier de la Sauce-à-broc change de nom à la demande par pétition des riverains. Il devient la rue Auguste-Comte.
Cette rue part du Boulevard de Verdun et arrive rue des Moulins.
Son assainissement est organisé en 1934.
Au numéro 60, en 1958, l'entreprise Beaulieu y fabriquait du matériel cinématographique, puis, s'y installa la fabrique de meubles Gandolfi frères dans les années 1960.
Auguste Comte (1798-1857)
Philosophe français, fondateur du positivisme.
Originaire d'un milieu catholique, il perd la foi dès l'âge de 14 ans. Brillant élève en mathématiques, il est renvoyé de l'Ecole Polytechnique pour insubordination et rébellion.
Il enseigne alors les mathématiques et devient le disciple et secrétaire de Saint-Simon avec lequel il se brouille en 1824.
Il ouvre, à son domicile un cours de philosophie positive qui rencontre beaucoup de succès. Il y expose sa théorie des trois états de l'esprit humain, qu'il compare aux stades de l'évolution de l'homme : théologique, ou fictif, dans sa jeunesse; métaphysique, ou abstrait, dans son adolescence; et positif dans sa maturité qui devient l'âge de la science.
Avenir
La rue de l'Avenir
Elle reliait la limite de Vincennes à hauteur de la rue Gounod à la rue de Trucy.
Elle a pour origine le sentier de la Fosse-aux-Malades n° 2, autrement dit sentier aux Malassis.
Le Conseil municipal par délibération du 17 décembre 1897 lui donne le nom de rue de l'Avenir.
La rue est viabilisée entre 1935 et 1936 et une opération d'alignement sera engagée en 1942.
Par la suite, sera donné le nom de rue Pierre-Demont, en hommage au jeune résistant fontenaysien, au tronçon entre l'avenue de Stalingrad et la limite de Vincennes.