Les noms de voies en B
Les noms de voies en B
- Balzac
- Bapaume
- Beaumarchais
- Beaumonts
- Beauséjour
- Bel-Air
- Belle-Gabrielle
- Belles-Vues et Bellevue
- Béranger
- Berceau
- Bergère
- Berlioz
- Bernard-Palissy
- Berthelot
- Berthie-Albrecht
- Bicentenaire 1789-1989
- Bienfaisance
- Bir-Hakeim
- Boileau
- Bois
- Bois Cadet
- Bois-de-l'Aulnay
- Bois-de-Neuilly
- Bois-des-Joncs-Marins
- Bois-Galon
- Bois-Guérin-Leroux
- Boissonot
- Bordiot
- Borne
- Boschot
- Bossue
- Bourges
- Bouvard
- Brovary
- Buisson-de-la-Bergère
Balzac
La rue Balzac
A l'origine ancien Sentier des Rieux, dit sous le Rû-coin. Il fut aussi appelé chemin de Ruisseau-du-Rû-Coin.
C'est le chemin rural n° 44.
C'est en 1931 que la voie fut baptisée rue Balzac.
Elle fit l'objet d'un élargissement à 10 mètres en 1935.
En 1950, suite à une pétition des riverains pour demander la réouverture du fossé du Rû-Coin, qui court de la voie dans les jardins côté pair, la commune impose des travaux de débouchage.
En 1952, un arrêté vient rappeler les obligations des habitants.
Honoré de Balzac (1799-1850)
Né Honoré Balssa est un romancier français.
A 20 ans il passe le baccalauréat de droit mais décide de se consacrer à la littérature.
En 1829 il publie Les Chouans, première pièce de la Comédie Humaine. Il publie en moyenne trois romans par an.
Il voit sa candidature à l'Académie Française rejetée plusieurs fois malgré le soutien de Victor Hugo.
Il obtient la légion d'honneur en avril 1845.
Il meurt sans avoir achever la Comédie Humaine.
Beaumarchais
La rue Beaumarchais
L'ancien chemin des Trontais est nommé rue Beaumarchais en 1931.
Elle est située, parallèle à la rue Alfred-de-Musset, entre la rue Guizot et l'avenue du Maréchal-Foch.
Elle dessert une zone pavillonaire.
La rue est partiellement élargit à 10 mètres en 1935, puis fait l'objet d'un alignement désigné sous le nom d'opération n°65bis en 1945.
En 1953, des procès-verbaux de délimitation sont signés par les riverains
En 1976, il est projeté un nouvel aménagement ; celui-ci réclame de nouvelles expropriations qui ne sont pas acceptées par les riverains.
Les travaux d'assainissement des eaux usées et des eaux pluviales sont terminés en octobre.
Pierre Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799)
Ecrivain, journaliste et dramaturge français.
Fils d'horloger, il connait une enfance heureuse où l'on lisait et écoutait de la musique.
En 1756, il se marie une première fois Il se fait dès lors appeler «de Beaumarchais», nom d’une terre qui appartient à son épouse. A la mort de sa femme, il acquiert une grande fortune pour acheter une charge de secrétaire du roi qui lui confère la noblesse. Ensuite, il donne des leçons de harpe aux quatre filles du roi Louis XV.
Il commence à écrire de petites parades pour des théâtres privés, et épouse, en 1768, une veuve très riche, qui meurt deux ans après, lui laissant une grande fortune.
Ses premiers drames n'ont pas un grand retentissement, mais sa comédie "Le Barbier de Séville" (1774) qui est sévèrement censurée puis modifiée suscite un vif enthousiasme en 1775. Sa suite "Le Mariage de Figaro", également soumise à la censure et jugée dangereuse est un triomphe à sa première (1784).
A l'âge de 58 ans, il se rallie à la Révolution française qui le nomme membre provisoire de la commune de Paris. Il se ruine en voulant fournir des armes aux troupes de la République.
Il devient suspect sous la Convention, s'exile à Hambourg et ne revient en France qu'en 1796.
Par ses pièces, la gloire des libertés populaires se fait jour, là où l'aristocratie est bouleversée par les idées philosophiques.
Il est l'initiateur du drame bourgeois et l’une des figures emblématiques du Siècle des Lumières, considérée comme un précurseur de la Révolution française.
Il écrit ses "Mémoires", chef-d’œuvre de pamphlet, et meurt d’apoplexie à l'âge de 67 ans.
Beaumonts
Ce nom, hérité de celui du lieu-dit, dû à la topologie du lieu, a été donné à un sentier, une rue, une villa et un carrefour.
- La rue des Beaumonts, ancien sentier des Beaumonts, reliait la rue André-Laurent à la rue de la Renardière.
- La villa des Beaumonts relie la rue des Beaumonts à l'avenue Parmentier, dans la prolongation de la rue de la Renardière.
- Le carrefour des Beaumonts n'est cité ainsi que dans un arrêté d'alignement de 1932.
Section S et T du plan cadastral 1947
Beauséjour
La rue Beauséjour
Elle est aujourd'hui réduite entre la rue André-Laurent et l'avenue de la République.
En 1901, Le Maire Monsieur Squéville, donne ce nom à l'ancien chemin de Montreuil qui reliait la rue des Carreaux (aujourd'hui rue André-Laurent) et le chemin des Quatre-ruelles.
Classée en petite vicinalité en 1910 pour assurer la communication entre les Chemins de grande communcation 42 et et 43, elle est remblayée et nivelée.
En 1944, deux entreprises y avaient leur activité :
- Au n° 32bis, la fonderie de cuivre et de bronze d'art H. Pourrere.
- Au n° 107, l'entreprise de mécanique générale de moules mécaniques J. Smits.
Au delà de l'avenue de la République, elle deviendra rue D'Estienne-d'Orves et rue Gabriel-Péri, par délibération du 3 mars 1945.
Monsieur Poubelle, Préfet de la Seine, qui, lors de la pose de la 1ère pierre de l'Hospice intercommunal, qualifie ces lieux de "beau séjour"
Belle-Gabrielle
L'avenue de la Belle-Gabrielle
Elle longe le Bois de Vincennes, territoire de la Ville de Paris.
Vers 1860, la Ville de Paris vend une bande de terrain qui sera dite Zone retranchée du Bois de Vincennes, et crée des lotissements dont les voies sont de statut privé.
C'est donc la Ville de Paris qui devrait entretenir les voies.
La situation perdurera jusqu'en 1968, où la décision est prise de créer un Syndicat intercommunal pour la réalisation de l'assainissement et la viabilité des avenues.
L'avenue est longue de 470 mètres et à une emprise de 10 mètres.
Les travaux de viabilité et d'assainissement seront réalisés en 1971 et 1972.
L'avenue est bordée par de grandes propriétés dont les terrains rejoignent l'avenue des Marronniers, parallèle à l'avenue de la Belle-Gabrielle.
Cela n'exclut pas les entreprises.
Au n° 13, celle des engrais ELGE y est implantée comme en atteste une entête de 1947.
Gabrielle d'Estrées (1573-1599)
Elle est la maîtresse et favorite d’Henri IV de 1591 jusqu'à sa mort.
Belles-Vues et Bellevue
Ce nom, explicite s'il en est, a été donnée à plusieurs voies :
- La rue des Belles-vues, longe l'ancienne enceinte du château, aujourdui le stade André-Laurent.
Elle offre un point de vue sur l'ensemble du versant sud de la commune et au-delà.
En 1901 elle reliait la rue du Cheval-Rû et la rue des Moulins (partie aujourd'hui dénomée rue André-Tessier).
Il ne subsiste plus que la partie entre la villa des Belles-vues et la rue du Cheval-Rû.
- La villa des Belles-vues commence de la rue Charles-Bassée, elle est en forme de fourche et débouche au deux extrémités de la rue des Belles- vues.
- La villa Bellevue, c'est une des dix villas qui partent de la rue des Moulins vers le nord, entre le numéro 182 et 184. Section R du plan cadastral de 1947.
Béranger
La rue Béranger
Est l'ancien chemin du Bois-Guérin-Leroux, nom du lieu dit traversé.
Parallèle au boulevard de Verdun, elle rejoint aujourd'hui la rue Michelet et la rue Denis Papin et longe le groupe scolaire Michelet.
Elle a été nommée ainsi par délibération du 28 décembre 1931, comme tant d'autres voies auxquelles des noms d'écrivains, de philosophe, de scientifiques et d'artistes ont été donnés.
La villa Béranger, elle relie la rue Saint-Germain, au niveau du numéro 27, à la villa Peché. Aussi loin que nous puissions remonter dans le temps, nous retrouvons un tracé de cette villa en 1890, lors de la modification de l'alignement de la rue Saint-Germain.
Pierre Jean de Béranger (1780-1857)
Poète et chansonnier français.
Il était féroce contre le pouvoir dans ses chansons et cela lui value deux séjours en prison.
Il a habité à Fontenay-sous-Bois dans la maison faisant angle de la rue du Clos-d'Orléans et de la rue du Parc (aujourd'hui rue du Commandant Jean-Duhail), puis au 12 rue du Parc (aujourd'hui n°34 de la rue).
Berceau
La rue du Berceau
C'est l'une des huit voies à avoir conservé son nom depuis la Révolution française.
Une délibération du 5 novembre 1832 nous apprend que cette rue est en si mauvais état de salubrité, que la moitié de ses habitants sont morts du choléra.
Le Conseil demande un devis pour son assainissement et le pavage pour l'écoulement d'un ruisseau.
Les travaux ne commenceront qu'en fin 1834.
Au numéro 6, une maison de 1907, disposait au deuxième étage d'une "chambre à fruits", attestant de l'activité agricole du propriétaire (voir les plans de construction).
L'entreprise Coulaud y avait ses locaux comme en attestent des documents de 1929 et de 1957.
3 rue du Berceau 1937.
Fonds Thomas-Lamotte
Courrier à entête de l'entreprise Edmond Coulaud, entreprise de peinture-papiers peints et vitrerie
Berlioz
La rue Berlioz
Cette voie est nommée par délibération du 28 décembre 1931, et remplace le sentier du Jardin n°1.
Elle reliait la rue Rabelais à la rue du Maréchal-Joffre.
Celle-ci a disparu lors de l'aménagement de la Zone à urbaniser en priorité (ZUP).
Elle est encore visible sur le plan cadastral, section AG de 1947.
Hector Berlioz (1803-1869)
Compositeur et chef d'orchestre français.
Il s'est rendu célèbre avec La Symphonie fantastique, la symphonie concertante "Harold en Italie", son Requiem et son opéra les Troyens.
Il est l'auteur du Grand traité d'instrumentation et d'orchestration modernes.
Bernard-Palissy
La rue Bernard-Palissy
C'est l'ancienne rue Legendre a qui le Conseil donne le nom de rue Bernard-Palissy par délibération du 28 décembre 1931.
Elle est située au nord de l'avenue Victor-Hugo qu'elle rejoint à ses deux extrémités.
En 1936, des travaux sont initiés pour l'installation d'une canalisation. Celle-ci doit passer dans le terrain d'un riverain qui en donne l'autorisation.
La rue est alors frappée d'alignement (la rue passe alors d'une largeur de 2 mètres par endroit à 4 mètres) et de nivellement dans le cadre de l'opération dite 96.
Mais les travaux s'éternisent, car la commune n'est pas adjudicatrice de ces travaux.
Les eaux des caniveaux de l'avenue Victor-Hugo, se répendent dans la rue la rendant boueuse. Les travaux d'empierrement et des trottoirs seront terminés en 1937 ainsi que les travaux de mise en viabilité.
L'assainissement, entre l'avenue Victor-Hugo et la rue Descartes, en projet en 1953, fait passer la canalisation par des propriétés.
Des conventions sont signées. Les travaux sont réalisés en 1954.
Un nouvel alignement aura lieu en 1959 au débouché de la rue sur l'avenue Victor-Hugo et un nouvel élargissement sera décidé en 1960.
Bernard Palissy (1510-1590)
Potier, émailleur, peintre verrier et écrivain français.
Il se consacra à la recherche du secret des faïences émaillées.
Calviniste , il est arrêté en 1588, embastillé et meurt vers 1589.
Berthelot
La rue Berthelot
Elle emprunte le tracé de l'ancien chemin des Marchais.
Sa dénomination serait apparue en 1927.
Elle relie le boulevard de Verdun, au niveau de la place Michelet, à la rue Gay-Lussac.
Marcelin Berthelot (1827-1907)
Chimiste et homme politique français.
Ses travaux ont permis la mesure calorique des aliments. Ministre de l'Instruction publique (1886) et des Affaires étarangères (1896), il est élu à l'Académie française en 1901. Il repose au Panthéon.
Berthie-Albrecht
La rue Berthie-Albrecht
La voie a été tracée en 1970 lors de l'aménagement de la Plaine en Zone à Urbaniser en Priorité (ZUP).
Elle fut nommée par délibération du 13 février 1970 avec douze autres voies nouvelles.
Longue de 100 mètres et d'une emprise de 5 mètres, elle démarre de la rue Aimé-et-Eugénie-Cotton pour desservir un groupe d'immeuble du quartier des Larris.
Berthie Albrecht (1893-1943)
Infirmière engagée dans la Résistance.
Arrêtée par la Gestapo, elle a été décapitée à la hache en 1943.
Bicentenaire 1789-1989
La place du Bicentenaire 1789-1989
Au départ, simple terrain de boules aménagé en 1986, près de l'école Jean-Zay.
La place du Bicentenaire 1789-1989 a été baptisée le 5 mars 1989, à la demande de l'amicale des locataires de la cité Mitro-nord (confédération Nationale de Logement).
En cette année 1989 de célébration du bicentenaire, les enfants y ont planté un arbre de la liberté.
Cet emplacement a aujourd'hui perdu ce nom.
Bienfaisance
Le chemin de la Bienfaisance
Est l'autre nom du chemin de la Fosse-aux-Malades.
Situé à proximité de la maladrerie, il deviendra la rue de l'Hospice en 1892.
Bir-Hakeim
La rue Bir-Hakeim
C'est par délibération du 19 juillet 1949 que le boulevard George V est rebaptisé rue Bir-Hakeim.
Elle relie le boulevard du 25 août 1944 au boulevard de Strasbourg en limite de Nogent-sur-Marne.
Bir-Hakeim, ville de Libye.
Le 10 juin 1942, la première brigade des Forces françaises libres, sous le commandement du Général Koenig, résista aux troupes du Maréchal Rommel.
Il signe ainsi le premier succès militaire de la France libre contre les forces nazies.
Boileau
La rue Boileau
Ancien sentier du Pressoir elle reçut son nom par délibération du 28 décembre 1931.
La rue, disparue lors de l'aménagement de la Plaine en Zone à urbaniser en priorité (ZUP), est visible sur le plan de section L du cadastre de 1947.
Il est bien difficile de situer cette voie disparue comme la plupart des voies de cette section.
La partie de la rue Rabelais présente sur le plan n'existe plus non plus.
Seule la présence de la rue La Fontaine peut servir de repère.
Nicolas Boileau dit Boileau-Despréaux (1636-1711)
Homme de lettres, poète, traducteur français du Grand Siècle.
Polémiste et théoricien de la littérature, il fut considéré en son temps et par la postérité comme le législateur ou le « Régent du Parnasse » pour son « intransigeance passionnée ».
Admirateur et ami de Molière pendant dix ans, il fut dans le dernier quart du siècle le collègue et interlocuteur privilégié de Racine.
Bois
La rue du Bois
Cette rue est un prolongement de la rue du Bois-des-Joncs-Marins qui se trouve à la limite de la commune du Perreux.
Un lieu-dit de cette commune "le bois des Joncs-Marins" témoigne de l'existence de zone humide et sablonneuse.
Le chemin du Bois, quant à lui, est devenu la rue Florian en 1931.
Bois-de-l'Aulnay
Ce nom de Bois de l'Aulnay témoigne de l'humidité des terrains.
L'aulne ou aune est un arbre des zones humides.
Le nom de ce lieu dit a été donné à plusieurs voies :
- Le chemin du Bois-de-l'Aulnay qui est devenue la rue Condorcet
- Le sentier du Bois-de-l'Aulnay n°1 ou "rural 84"
- Le sentier du Bois-de-l'Aulnay n°2 ou "rural 85"
- L'allée du Bois-de-l'Aulnay créee en 1993.
Bois-de-Neuilly
L' avenue du Bois-de-Neuilly
Cette avenue a remplacé le chemin des Culs-Tessons.
Elle borde en 1947 les sections cadastrales AL, AM et H, notée aussi chemin vicinal N°1.
Bois-des-Joncs-Marins
La rue du Bois-des-Joncs-Marins.
Le bois des joncs marins se situe sur la commune du Perreux.
C'est naturellement, que le sentier qui y menait a pris son nom qui témoigne du caractère marécageux de ces terres sablonneuses.
Sa longueur est de 430 mètres pour une emprise de 8 mètres.
Bois-Galon
- Le chemin du Bois-Galon ou rural 40 et
- Le sentier du Bois-Galon ou rural 94 sont parallèles.
Ils encadrent le lieu dit du même nom.
Cela est bien visible sur le plan des section F et G du cadastre de 1947.
L'origine du nom n'est pas connue de manière certaine.
Bois-Guérin-Leroux
Ce nom a été donné au lieu dit puis aux sentiers qui le traversaient.
En 1947, il restait :
- Le Sentier du Bois-Guérin-Leroux qui menait de la rue des Ormes au sentier de Saint-Maur en croisant le boulevard Gallieni.
- Le Sentier du Bois-Guérin-Leroux qui prolongeait ce dernier.
Guérin Leroux était le nom du propriétaire des terres.
Aujourd'hui, une portion de ce chemin est conservé entre la rue Guérin-Leroux et le boulevard Gallieni.
Boissonot
La villa Boissonot
Elle a été formée sur l'ancien sentier Tortu, au lieu dit "le couchant du chemin de Saint-Denis".
Au début du 20è siècle, la voie prend le nom des frères Boisssonot, ébénistes à Paris, qui y construisit le premier pavillon.
Le nom de rue Gilbert-Ribatto lui sera donné en 1949.
Bordiot
La rue du Bordiot
Cette rue joint le numéro 81 de la rue Castel à la rue Pasteur.
Elle devient la rue Jean-Jacques-Rousseau en 1903.
Mais elle figure encore dans les pages indicateurs des rues de Fontenay et dans l' annuaire des commerçants et industriels de Fontenay-sous-Bois de 1914.
Borne
Le sentier de la Borne ou rural 82
Il partait du sentier-de-la-mare-à-Guillaume N°1 et débouchait rue Condorcet.
Il sépare les sections AI et AJ du plan cadastral de 1947.
Il a disparu lors des opérations d'aménagement de la Zone à Urbaniser en Priorité (ZUP)
Boschot
La rue Boschot
Est l'ancien tronçon de la rue de Montreuil.
Elle a été nommée ainsi en 1883.
La rue est longue de 245m et d'une emprise de 10m.
Jacques Boschot (1809-1883)
Maire de Fontenay-sous-Bois durant 22 ans, de 1853 à 1874.
Il oeuvra pour de nombreux d'aménagements qui ont bouleversés la vie des fontenaysiens de l'époque comme :
- l'ouverture de la fontaine de la place Mauconseil en 1856
- l'édification de l'ancienne mairie en 1858
- l'arrivée du chemin de fer en 1859
- l'éclairage au gaz des rues en 1865.
Bouvard
La rue Bouvard
Cette rue est très ancienne.
Elle doit tenir son nom d'une ancienne famille fontenaysienne.
Elle existait en 1747, car elle est mentionnée dans un ouvrage intitulé "les Heures sauvées" qu'un paysan lettré du village,Alexis Houseau.
Celui-ci entreprit d'écrire chronologiquement les événements dont il fut témoin ou qui étaient parvenus jusqu'à lui.
Brovary
L'allée Brovary
Allée piétonne, ouverte en 1986, en prolongement de la rue Edouard-Vaillant, pour relier la Place du Général-de-Gaulle et le relais paroissial, rue Maximilien-Robespierre.
Brovary est une ville ukrainienne avec laquelle Fontenay-sous-Bois est jumelée depuis le 27 juin 1986.
Buisson-de-la-Bergère
Deux voies ont porté ce nom.
- Le sentier du Buisson-de-la-Bergère ou rural 95 est présent dans l'indicateur des rues de l'annuaire de 1931.
Il allait du chemin Ruelle-de-Larris à l'avenue Faidherbe.
Aujourd'hui son tracé est réduit à 40m pour une emprise de 4m.
- L'allée du Buisson-de-la-Bergère a été ouverte entre l'avenue Charles-Garcia et la rue Jean-Zay.
Elle a été baptisée ainsi par délibération du 1er octobre 1976.